:33:02
- C'est ce que tu penses.
- Tu le dis toi-même.
:33:06
Tous tes amis sont des hommes.
Tu écris mal pour les femmes.
:33:10
La preuve ... tes rapports avec ta mère,
ta grand-mère, ...
:33:13
- tes deux tantes, ta soeur ...
- J'incorpore ça dans mon oeuvre.
:33:16
:33:18
Mais tu ne comprends pas mon oeuvre.
:33:20
Sur la défensive !
:33:22
Je n'ai pas un avis
assez intellectuel pour toi.
:33:26
Quand tu as une bonne idée,
j'écoute et je réagis.
:33:30
- Mais là, tu as tort.
- Ou ai-je raison ?
:33:33
Pas en ce qui concerne
la sexualité de Sylvia.
:33:36
17 septembre.
La première semaine est passée.
:33:40
On a eu que
quelques incidents mineurs ...
:33:44
La dispute d'Helen et Eden.
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Je peux pas jouer
si elle gigote au fond !
:33:50
Je vais m'asseoir.
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Sylvia ne la ferait pas asseoir !
Elle la méprise.
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Elle me veut ni assise ni debout.
Je peux m'accroupir.
:34:00
Vous voulez que le public croie
que mon mari ...
:34:03
me quitte pour elle ?
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- Allons donc !
- C'est clairement dit ...
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dans la réplique
où il parle d'attirance érotique.
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Il pense à moi dans cette réplique.
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Juste pour les taches de vieillesse !
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De quand date
ta dernière hémorragie ?
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Serait-ce le moment
de mon monologue de l'acte II ?
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- Si je le tentais ?
- Il me faut une aspirine.
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Pourquoi pas ?
Va te reposer, Eden.
:34:32
Une aspirine !
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Mitch.
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Et j'ai voulu couper
une réplique d'Olive ...
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- Je l'aime et je la sais par coeur !
- Elle est superflue.
:34:45
- Elle est quoi ?
- Elle est en trop.
:34:48
On sait ce que tu penses
de la dépression de Sylvia.
Tu en parles au médecin.
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c'est ma faute. Tu es parfaite.
:34:55
Mais ... j'aime la dire.
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On n'en a pas besoin.