:50:01
:50:03
C'est dégoûtant
de raconter ça devant moi.
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J'ai l'estomac fragile.
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- Pour la pièce ...
- M'interromps pas.
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- Pour Sylvia ?
- Si le docteur ressent ce qu'elle ressent ...
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tu vois ...
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Elle s'identifie à sa patiente.
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Et quand elle devient jalouse,
c'est logique.
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Et il faut une dispute entre le docteur
et le lieutenant. Ça manque !
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Pourquoi il n'y en a pas ?
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C'est une tout autre optique.
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Absolument.
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Réfléchis-y.
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Comment le public saura
que Sylvia a des remords ?
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Je sais pas.
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Attends.
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Tu te débrouilles pour qu'on entende
ce qu'elle pense.
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- Elle pense tout haut ?
- Pourquoi pas ?
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Une pièce, c'est pas du vrai.
Mais ça sera plus fort.
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Réfléchis-y.
Et toi, m'interromps plus !
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Excuse-moi.
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T'en avais des choses à dire
au gorille de Valenti !
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Je l'ai remercié de ses idées.
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Ses idées ?
Il a fait qu'une suggestion.
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- C'est vrai.
- Ton portefeuille te plaît ?
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Ton portefeuille ?
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- Oui, magnifique.
- Tu es sûr ?
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J'ai toujours adoré le simili-cuir.
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T'es bourré, toi !.
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Bon anniversaire.
:51:25
Merci.
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24 septembre. Les remaniements
ont plu aux acteurs.
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- C'est brillant !
- C'est vrai.
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Sylvia n'est plus passive.
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Elle piège le lieutenant,
et elle en a des remords.
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Il y a une motivation ! Ça bouge.
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Faut que j'aprenne tout ça ?
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- D'où est venue l'idée
de ces divins remaniements ?
- Pas vraiment de moi ...
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De Dieu ?
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- Dans un sens, de moi ...
- La modestie vous sied.