:51:02
Sans rentrer dans
des considérations politiques...
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- Elles sont pour tout.
- Parce que tu manges trop.
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Il mange toute la journée.
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Nous représentons l'Amérique.
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Je n'ai qu'à ouvrir le placard.
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C'est ton argent.
Mange ce que tu veux.
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- Ne l'encourage pas.
- Désolé Mlle Flagorneuse.
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Ça te dépasse.
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Ça te dépasse.
:51:20
Ne commence pas avec moi.
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C'est juste du bon sens !
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- Plus personne n'en a.
- C'est vrai.
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Même pas ce sale oiseau.
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Tu l'as cousu, maman ?
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Oh, merde !
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- Maman !
- Assieds-toi !
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Bicarbonate de soude.
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Espèce de connard !
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Tu l'as pas arrangée !
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Sortez-moi ça !
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Espèce de connard !
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Merde.
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Ma cravate.
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Joanne, regarde ça.
Regarde ma cravate.
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- Je comprends ce que tu ressens.
- Tu n'en sais rien !
:52:23
A mon avis, tu t'en fous !
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Les opinions, c'est comme
des trous de balle.
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C'est toujours celui
des autres qui pue, pas le sien.
:52:30
Henri, pour l'amour de Dieu !
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Ça aura été un vrai cauchemar !
:52:37
Je dois partir.
:52:39
Joanne, tu es
une superbe tragédienne.
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Assieds-toi
et tout va s'arranger.
:52:45
Tu me traites de tragédienne,
M. Le Pervers ?
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Papa, pose ce caméscope.
:52:54
Papa, attends.
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Ça fait cent ans
qu'on essaie de capturer ça.
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Quand vous êtes rentrés
de l'hôpital avec Joanne.