Jerry Maguire
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:06:07
J'avais tant à dire
mais personne ne m'écoutait.

:06:12
Et puis ... Le déclic.
:06:17
C'était le truc le plus bizarre,
le plus inattendu.

:06:22
J'al commencé à rédiger ce qu'on
appelle une profession de foi -

:06:27
- où l'on suggère
la future direction de la société.

:06:31
Une nuit comme celle-ci
ne se présente pas très souvent.

:06:37
Ce qui n'était qu'une page
s'est transformé en 25 pages.

:06:41
J'étals redevenu le fils
de mon père.

:06:45
Et je me rappelais
les joies simples de mon métier.

:06:49
La rumeur du stade quand un des
joueurs s'éclate sur le terrain.

:06:53
La façon dont nous les protégeons
qu'ils soient en forme ou blessés.

:06:58
Avec tant de clients, SMI avait
oublié ce qui était important.

:07:02
J'ai écrit encore et encore.
Et je suis loin d'être écrivain.

:07:07
Je me souvenais même des paroles
de mon mentor, le grand Dicky Fox:

:07:12
"La clef de ce métier, c'est
la personnalisation des rapports."

:07:16
Soudain, tout était clair. La solution
était avoir moins de clients.

:07:21
Moins d'argent. S'occuper d'eux
et s'occuper de nous-mêmes.

:07:27
C'est un nouveau départ ... à zéro.
:07:30
Je le reconnais. Ce que j'écrivais,
était un peu du déballage.

:07:35
Je m'en foutais. J'étals le mol
que j'avais toujours voulu être.

:07:44
En pleine nuit,
j'en ai fait Imprimer 1 10 copies.

:07:48
Même la couverture
ressemblait à "L'Attrape Coeur."

:07:52
Je l'al intitulé
"Ce que nous pensons sans le dire. "

:07:57
"L'avenir de notre métier. "
:07:59
C'est comme ça qu'on devient
célèbre. Risque ta paire de couilles.


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