:29:03
Mais là, ce sera pire que jamais.
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Je ne tolère plus tous les inconvénients
liés au fait de lécher une fille.
:29:08
C'est quoi le problème?
:29:10
Si tu parles de l'odeur,
fais-gaffe je te colle un pain.
:29:13
Non, l'odeur, j'aime bien.
:29:15
Je parle de mon incapacité
à le faire correctement.
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M'a mère m'a appris une chose:
:29:20
Si je ne sais pas faire quelque chose,
alors autant ne pas le faire.
:29:23
Bon, mon père disait qu'elle suçait mal,
mais c'est pas le sujet.
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Au moins tu reconnais tes lacunes
en matière de sexe.
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Non. Leurs lacunes à elles.
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Les meufs ne t'aident jamais.
Jamais elles ne te disent quoi faire, pas vrai?
:29:37
Et la plupart d'entre elles sont
bloquées par le facteur odeur.
:29:41
Du coup, en général, elle restent là, figées,
comme un lapin devant les phares d'une voiture.
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Je dis ça parce que quand une nana me suce,
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je lui fais savoir où aller
et à quel point j'en suis.
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Il faut la jouer comme
CNN ou la Chaîne-Météo:
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des mises à jour constantes.
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T'es vraiment con.
:30:00
Non, il a raison.
J'étais comme ça au lycée.
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Tu sais, paralysée à l'idée qu'on me lèche.
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Mais à l'Université, tout a changé.
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Je me suis libérée.
:30:13
J'étais comme ces types sur les pistes
d'aéroports avec leurs torches
:30:15
qui les bougent comme ça, pour diriger,
pour dire quand s'arrêter.
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C'est ce que je dis. Ce serait différent
si les nanas me donnaient un coup de main.
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En disant au type où il doit aller.
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Plus de temps perdu,
plus de séquelles permanentes.
:30:31
Séquelles permanentes?
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Ouais. Tu veux un exemple?
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- Tu vois ça?
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Nina Rollins, en deuxième année.
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Je lui bouffais la chatte, d'accord?
:30:43
Et d'un coup son chat saute sur elle.
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Elle se redresse et me donne un grand coup
de pelvis, me pète la dent et je l'avale.
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Il a fallu que je mette une couronne.
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J'ai mieux que ça.
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Première année, je léchais
Cynthia Slaterin chez elle.