:30:00
Non, il a raison.
J'étais comme ça au lycée.
:30:03
Tu sais, paralysée à l'idée qu'on me lèche.
:30:07
Mais à l'Université, tout a changé.
:30:10
Je me suis libérée.
:30:13
J'étais comme ces types sur les pistes
d'aéroports avec leurs torches
:30:15
qui les bougent comme ça, pour diriger,
pour dire quand s'arrêter.
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C'est ce que je dis. Ce serait différent
si les nanas me donnaient un coup de main.
:30:23
En disant au type où il doit aller.
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Plus de temps perdu,
plus de séquelles permanentes.
:30:31
Séquelles permanentes?
:30:33
Ouais. Tu veux un exemple?
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- Tu vois ça?
:30:38
Nina Rollins, en deuxième année.
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Je lui bouffais la chatte, d'accord?
:30:43
Et d'un coup son chat saute sur elle.
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Elle se redresse et me donne un grand coup
de pelvis, me pète la dent et je l'avale.
:30:51
Il a fallu que je mette une couronne.
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J'ai mieux que ça.
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Première année, je léchais
Cynthia Slaterin chez elle.
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J'étais complètement bourrée, je me suis
endormie au beau milieu d'un cunnilingus.
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Elle a pété un plomb, elle m'a enfoncé
son talon dans les côtes.
:31:11
Juste là. Ca c'est de la séquelle.
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D'accord, d'accord.
Tu vois ça.
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Je ne peux pas pencher ma tête
plus que ça vers la droite.
:31:24
Toujours en première année,
je sortais avec Brandy Svining.
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Pendant six mois, je l'ai léchée en vain.
Pas une réaction!
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Une nuit, j'ai dû changer de position,
ou la vitesse de ma langue,
:31:35
d'un coup c'était la Révolution!
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Elle bougeait dans tous les sens,
respirait très fort,
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elle a collé ses cuisses
contre mes oreilles si fort
:31:45
que je n'ai pas entendu son père
qui rentrait dans la chambre.
:31:49
Il m'a attrapé par les cheveux
et tiré en arrière.
:31:57
Troisième année, vacances de Pâques.