:42:04
C'est ton problème. . .
:42:05
qui a forcé
notre dispositif de sécurité ?
:42:09
Puis il déboule chez moi. . .
:42:11
Il y a un vieux dicton
qui m'a bien servi :
:42:15
"Ne chie pas là où tu manges. "
:42:19
Ou "Là où tu vis" ?
:42:21
"Ne chie pas là où tu vis. "
:42:22
Je préfère ça.
:42:24
Je m'excuse, M. Carter.
:42:26
Nous avons
trois possibilités.
:42:28
Un : on peut t'aider.
Deux : on te laisse t'en sortir.
:42:34
Trois : on te remplace.
:42:41
Pour nous, tu es un investissement.
De temps, d'argent, de formation.
:42:46
En t'aidant. . .
:42:48
en un sens, nous protégeons
cet investissement.
:42:52
Et ça, c'est de la bonne gestion.
:42:55
Oui, M. Carter.
:42:57
Vous ne le regretterez pas.
:43:03
D'après Philip, un homme est en ville
pour te tuer ?
:43:08
Tu dis qu'il est seul,
que c'est un braqueur. Exact ?
:43:12
Oui, monsieur.
Paierie, banques, ce genre de truc.
:43:16
- Comment s'appelle-t-il ?
- Porter.
:43:20
Son prénom ?
:43:27
Aucune idée.
Il se fait toujours appeler Porter.
:43:42
Où as-tu trouvé
les 1 30 000 dollars ?
:43:50
C'est pour ça qu'il est en ville ?
:43:53
L'argent
que tu nous as remboursé ?
:43:55
Il ne lui en revenait que 70 000.
:43:59
On ne t'a pas posé de questions.
Ça ne nous regarde pas.