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On avait d'énormes...
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problèmes de météo
là où on a tourné ca...
Ç
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on passait de la neige au soleil.
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Et c'est un montage de morceaux
filmés sur plusieurs jours.
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Je crois que faire le mort est
la chose la plus difficile à jouer.
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C'est très...
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difficile d'être étendu...
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sans respirer.
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Ça, c'est un des derniers morceaux
que j'ai faits. J'ai bien aimé.
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C'était un peu à la dernière minute,
non?
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Et je me suis vraiment mis
dans cet esprit.
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Je suis parti dans un genre
Starsky et Hutch des années 70...
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avec une consonance
des Appalaches.
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J'avais des thèmes bizarres en tête.
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J'aime bien travailler comme ça,
en étant à la fois en phase...
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et complètement décalé, si on veut.
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Et on peut apporter un plus
à une scène en travaillant comme ca.
Ç
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C'est très bien aussi parce qu'on
entre dans le côté mystique.
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Le fait que...
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la puissance liée au cannibalisme
le rende magique, dans un sens.
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Il est là, puis il disparaît.
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Comme au théâtre...
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il y a certaines traditions
au cinéma...
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celle-là, c'est celle de la traque...
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la poursuite du méchant.
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On était vraiment sur une falaise
à pic.