Stanley Kubrick: A Life in Pictures
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Sa façon de faire un film

était de se concentrer. . .

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autour de 7 ou 8
"unités insubmersibles" .

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Cela voulait dire avoir
un bon élément, et un autre. . .

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Brian Aldiss
Écrivain

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. . .et quand vous en aviez 6,
vous aviez presque fini.

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Il suffisait de les raccorder.
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On voit bien ce principe. . .
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dans "2001 " . . .
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bien que les morceaux
ne s'encastrent pas toujours bien.

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C'est pour cela que "2001 " est un
mystère, et toujours intéressant.

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Je me souviens de la première fois
où j'ai vu ce film.

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Pour moi, ce n'était pas un film.
C'était la première fois. . .

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que la forme cinématographique
avait changé :

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ce n'était pas un documentaire,
ce n'était pas une histoire. . .

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pas vraiment de la science-fiction. . .
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mais comme de l'éventualité
scientifique.

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HAL, malgré votre énorme intellect,
trouvez-vous frustrant...

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d'être dépendant de l'homme
pour pouvoir agir ?

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Pas du tout...
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j'aime travailler avec les humains...
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j'ai une relation très stimulante
avec Dr Poole et Dr Bowman.

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Mes responsabilités dans cette
mission couvrent tous les domaines...

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je suis donc toujours occupé.
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Je me mets constamment
à entière disponibilité...

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ce qui est je pense le plus qu'aucune
entité consciente puisse espérer.

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Contrairement à beaucoup
d'auteurs de science-fiction. . .

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dont moi-même. . .
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il pensait qu'on ne peut pas
connaître le futur. . .

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et c'est le premier film, la première
oeuvre de science-fiction. . .

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qui montre le futur comme
étant impossible à connaître.

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Il y a 18 mois...
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a été découverte
la première preuve d'intelligence...

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extraterrestre.
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Enterrée à 12 mètres au-dessous
de la surface de la lune...


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