Stanley Kubrick: A Life in Pictures
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qui demandait. . .
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si dans un monde
où l'homme est capable. . .

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du comportement
le plus choquant et destructeur. . .

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l'espoir et la vertu sont possibles.
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Zigouillez-moi, bande de fumiers !
De toute façon je ne veux plus vivre.

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Pas dans ce monde merdique.
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Qu'est-ce qu'il a de si merdique ?
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Quelle sorte de monde
est-ce, d'ailleurs ?

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Les hommes vont sur la lune...
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ou tournent autour de la planète...
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et il n 'y a plus d'égards...
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ni pour la loi,
ni pour l'ordre sur terre.

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Chère patrie...
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je t'ai servie...
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On peut dire. . .
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que la vision de Stanley
de la nature humaine. . .

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était très noire.
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C'est miraculeux,
spécialement à cette époque. . .

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d'avoir mené sa carrière. . .
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en faisant des films
si dépourvus de compromis.

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Cela avait été une soirée
merveilleuse.

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Et ce dont j'avais besoin maintenant
pour la finir parfaitement...

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c'était un peu de ce bon
Ludwig van.

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Kubrick s'amuse avec la musique. . .
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et avec ce qu'il en a fait
auparavant. . .

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en ayant pris une musique classique
vraiment classe. . .

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pour son film précédent.
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Là, il disait : on va avoir
du Beethoven. . .

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mais aussi l'ouverture de "Guillaume
Tell" jouée 5 fois trop vite.


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