Stanley Kubrick: A Life in Pictures
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On peut dire. . .
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que la vision de Stanley
de la nature humaine. . .

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était très noire.
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C'est miraculeux,
spécialement à cette époque. . .

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d'avoir mené sa carrière. . .
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en faisant des films
si dépourvus de compromis.

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Cela avait été une soirée
merveilleuse.

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Et ce dont j'avais besoin maintenant
pour la finir parfaitement...

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c'était un peu de ce bon
Ludwig van.

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Kubrick s'amuse avec la musique. . .
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et avec ce qu'il en a fait
auparavant. . .

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en ayant pris une musique classique
vraiment classe. . .

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pour son film précédent.
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Là, il disait : on va avoir
du Beethoven. . .

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mais aussi l'ouverture de "Guillaume
Tell" jouée 5 fois trop vite.

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Kubrick s'amuse aussi quand Alex
va dans le magasin de disques.

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Dans un bac,
il y a un disque de 2001.

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C'est un bon gag, mais c'est aussi
la réflexion d'un réalisateur. . .

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qui a cessé d'être influencé
par les autres.

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Un réalisateur dont l'influence
principale est devenue lui-même.

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C'est cette chère musique
qui vint à mon secours.

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Il y avait une fenêtre ouverte
et la musique à fond...

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et j'ai tout de suite su quoi faire.

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