Stanley Kubrick: A Life in Pictures
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Il voulait qu'ils aient de la vie.
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Milena Canonero
Costumes

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Il voulait s'approcher de certains
peintres de cette époque.

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Stanley m'envoya dans
toutes sortes d'enchères. . .

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qui vendaient des costumes.
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Il voulait de beaux tissus,
et disait, à juste titre. . .

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que c'est ce qui donne de si belles
lumières dans les tableaux.

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Tout le monde parle
de Barry Lyndon...

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comme un des plus beaux
films situés au XVIIlème.

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C'est à cause de la façon dont il l'a

filmé et nous a poussés à travailler.

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En tant qu'artiste. . .
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vous êtes souvent instinctif. . .
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il n'est pas facile d'expliquer. . .
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Ken Adam
Designer

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. . .votre créativité.
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C'est la même chose
pour les acteurs. . .

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et tout en les respectant. . .
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il les poussait. . .
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à leur limite. . .
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Un jour. . .
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Steven Berkoff
Acteur

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je suis arrivé sur le plateau et
il y avait mille bougies allumées.

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Il y avait une grosse tempête. . .
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et des techniciens étaient
à l'extérieur qui devaient tenir. . .

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les lampes.
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Le vent était très violent sur Dublin,
et la pluie était glacée.

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J'espérais qu'ils n'en aient pas
pour trop longtemps.

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Les bougies brûlaient tout doucement.
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Stanley était assis
avec Hardy Krüger. . .

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et ils discutaient un problème :
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"Hardy, je crois que nous devrions. . . "
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Krüger était aussi
en train de s'énerver.

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C'était intéressant, Stanley restait
calme, il n'élevait pas la voix.

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Il travaillait en tête-à-tête
avec les acteurs.

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"Lord Bullingdon"
dans "Barry Lyndon"

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Vous aviez une vraie relation.

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