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s'il n'était pas sûr. . .
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je trouvais cela stimulant en tant
qu'acteur, parce qu'il me disait :
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"Fais ce que tu veux,
mais fais-le réellement. . .
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Ça me fera peut-être changer
la façon dont je vois cette scène.
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Sir Richard,
ce pistolet est défectueux...
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Il m'en faut un autre.
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Je regrette, Lord Bullingdon,
mais vous devez rester en place...
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pour que M. Lyndon
puisse tirer à son tour.
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Stanley était un réalisateur. . .
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estimé par ses confrères.
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Les critiques cherchaient toujours
ce qu'ils ne trouvaient pas. . .
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et étaient donc toujours déçus.
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C'était aussi un peu la faute
de Stanley,
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par exemple, pour Barry Lyndon.
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Tout le monde attendait
un film de cape et d'épée. . .
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et en fait c'était l'histoire. . .
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d'un beau garçon un peu faible. . .
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qui essaie de gravir. . .
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l'échelle sociale.
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L'histoire d'un jeune homme
qui essaie de se définir. . .
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dans un environnement
qui lui est étranger.
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Ce n'est pas du tout
ce que les gens attendaient.
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Barry Lyndon sortit
alors qu'Hollywood entrait. . .
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dans la période du film d'action
à grand succès.
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Il durait trois heures
et fut trouvé ennuyeux. . .
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par la plupart des critiques
en Amérique et en Angleterre.
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Mais en Europe, il fut acclamé pour
sa beauté à vous couper le souffle.
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Il gagna quatre Oscars :
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meilleure photographie, décors. . .
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costumes et musique.
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Stanley était déçu,
parce qu'au total. . .
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ce n'était pas un succès commercial.
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Il était très triste et découragé. . .