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Les quatre éléments-clés étaient :
la démolition, la signalisation. . .
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les palmiers et la fumée.
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On a filmé surtout
à "l'heure magique" .
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Phillip Hobbs
Coproducteur
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C'est ce moment merveilleux
où tout le monde est épuisé. . .
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et la lumière est parfaite.
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Il est mort.
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Vous partagez et collaborez
beaucoup avec Stanley.
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Ce n'est pas facile
de l'impressionner. . .
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mais si vous n'avez eu
aucune réflexion de la journée. . .
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Doug Milsome
Directeur de la photographie
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vous savez que vous avez été bon.
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Vous devenez très proche,
vous faites partie de la famille.
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C'est une équipe très unie parce que
vous travaillez parfois 24h d'affilée.
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Manger, boire, dormir. . .
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Il n'y a pas de vie en dehors
du film avec Stanley.
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Mais si cela vous plaît, il n'y a pas
d'expérience plus intense.
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Avec Stanley, vous méritiez
votre salaire.
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Mais personne
ne le méritait plus que lui.
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Personne ne travaillait aussi dur. . .
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aussi consciencieusement que lui.
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Et il savait que
quand vous faites un film. . .
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vous ignorez souvent ce que
vous voulez avant de l'avoir vu.
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On essaie !
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D'une manière ou d'une autre. . .
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le temps passé avec Stanley. . .
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a été très fructueux.
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Si vous ne pensez qu'à l'argent,
alors c'est sans doute différent.
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Mais en ce qui me concerne. . .
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je n'ai pas à me plaindre.
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Kubrick travaillait sur Full Metal
Jacket depuis 1980.
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Quand le film sortit
7 ans plus tard. . .
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d'autres films sur le Viêt-nom
étaient sortis.
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Kubrick, le grand innovateur. . .
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avait été dépassé
par d'autres réalisateurs.
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Mais le film conquit
un public nombreux. . .
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parce qu'il avait toutes les
caractéristiques d'un film de Kubrick.
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Il était triste d'avoir fait
si peu de films.
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Il aurait voulu en avoir fait plus.
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S'il avait un regret dans la vie. . .