Stanley Kubrick: A Life in Pictures
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C'est un luxe que lui seul
pouvait se permettre. . .

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grâce à ce qu'il avait déjà réalisé,
il pouvait dire :

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"Tu sais ce qui est précieux
pour faire un film ? Le temps. "

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Ne pas lâcher une scène. . .
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tant que vous pensez
pouvoir faire mieux.

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Je voulais me moquer de toi. . .
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te rire au nez.
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Je riais aussi fort que je pouvais.
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Ca doit être à ce moment

que tu m'as réveillée.

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Stanley détestait devoir s'expliquer.
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Si on lui demandait
de quoi parlait le film. . .

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il ne répondait jamais.
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Et si on lui demandait
ce qu'il attendait d'une scène. . .

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il ne répondait pas non plus.
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Eyes Wide Shut,
c'est un jeu dangereux.

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Il s'embarque dans une aventure
inconnue.

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C'est irresponsable.
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C'est une illusion. . . un film rêvé.
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On n'est pas censé
croire ce que l'on voit.

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Les gens ont du mal à accepter. . .
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l'ambiguïté au cinéma.
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L'ambiguïté c'est génial,
mais au cinéma, c'est comme interdit.


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