24 Hour Party People
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:44:00
Ok.
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5 millions.
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Vous voulez quoi pour ça ?
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- Ce que je veux ?
- Ouais.

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Je veux tout.
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Je veux tout : les anciens
enregistrements, la porte, cette table,

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cette nourriture, ces fenêtres,
je veux tout.

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- Ok.
- Vous voulez Factory ?

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C'est exact.
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Ok. Nous sommes très,
très flattés, Roger.

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Terriblement flattés que tu penses que
nous valions une telle somme...

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Cependant, ce que tu...
ce que je dois t'expliquer, c'est que...

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Factory Records n'est
pas une société.

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Nous sommes une expérience
de nature humaine.

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Tu es en train de te tromper...
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en fait nous avons un accord...
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avec nos groupes,
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et nous n'avons aucun contrat.
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Et j'ai bien peur de... refuser.
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Parce que voici le papier qui sert...
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pour les accords de Factory Records
avec tous ses groupes.

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"Le travail des artistes leur appartient,
le label ne possède rien."

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"Nos groupes ont la liberté."
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"De foutre le camp."
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Oh, ouais. D'accord.
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"La liberté de foutre le camp"
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Je ne suis pas obligé de faire
affaire avec vous.

:45:19
Correct.
Mais mon épitaphe sera...

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que je n'ai littéralement, voir
métaphoriquement, jamais...

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retourné ma veste.
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Je me suis évité d’avoir...
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le choix de tout revendre...
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en ne me laissant rien à revendre.
:45:43
Tony, t'es un putain
de cinglé.

:45:45
C'est un point de vue.
:45:55
Plus que tout, j'aime Manchester.
:45:57
Les vieux entrepôts,
les architectures ferroviaires...


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