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- Tu te sens bien?
- Où vas-tu?
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Je dois... Merci pour le...
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Félicitations... Au revoir.
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J'avais tout compris.
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IJ s'agissait de cette évidente iJJumination,
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comme une révéJation.
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Ce n'était pas sur queJqu'un en particuJier,
mais sur Jes gens en généraJ.
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J'ai aJors compris
que "Je grand amour" n'existait pas.
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IJ y a en fait
un sacré tas d'amours potentieJJes.
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Et aJors que ça devrait être réconfortant,
c'est en fait assez angoissant.
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On voudrait tous attendre
et Jaisser une sorte de force
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nous montrer avec qui on doit passer
Je reste de notre vie.
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Mais, en réaJité,
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iJ n'y a pas de coup de foudre
pour te botter Je cuJ
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et te dire de choisir cette personne
parmi Jes autres.
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C'est comme avec Ja pJuie.
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IJ peut pJeuvoir à tout moment.
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Parfois on y est préparé, parfois non.
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SeJon où tu te trouves quand ça frappe,
soit tu es touché soit tu J'es pas.
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En fait, Ja pJupart d'entre nous
se déménent pour J'éviter.
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IJ se peut que tu Joupes Je bus.
Ou que tu J'aies.
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Parfois tu penses à ton parapJuie,
parfois tu J'oubJies.
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Rien n'est évident.
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Ça repose sur Je hasard,
sur un fJot énorme d'opportunités.
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C'est J'essentieJ de ce que Je destin fait.
Le reste dépend de nous.
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Par les pouvoirs qui me sont conférés,
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je vous déclare mari et femme.
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Vous pouvez embrasser la mariée.