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Ce ne sont que des mots, ils sont
aussi socialistes que vous et moi.
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Nous avions prévu un orateur,
mais ce garçon a attrapé un rhume.
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Nous nous demandions si nous pouvions
vous persuader de dire quelques mots.
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Mais bien sûr,
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je comprendrai...
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que les muses...
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David, Comment vois-tu l'avenir ?
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J'ai peur qu'il ne soit coûteux
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- Comment vas-tu?
- ça va.
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- Tu as l'air en forme.
- Merci.
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C'est une baignoire fourrée ?
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Oui. Oui, c'est ça.
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Gerta va bien j'espère ?
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Oui, elle va bien.
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Alors dis moi, je suis...
dans la panade, comme on dit ?
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Non, la panade c'est bon.
Tu es dans la merde.
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Oh, charmant.
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Max, c'est sérieux.
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Je sais que c'est de la négligence,
mais les gens des impôts
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pourraient être moins compréhensifs.
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Que suggères-tu ?
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Que tu envoies ton
chèque aux impôts
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en prétendant avoir oublié.
Une sorte de licence artistique.
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Mais je n'ai plus rien.
George avait besoin d'une avance.
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Tu ne peux pas continuer
à te conduire en mécène.
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Tu peux emprunter à ton père ?
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Non, je ne veux pas l'embêter.
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Demande un nouveau prêt
gagé sur la galerie.
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Ce n'est pas si simple.
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La banque voudra savoir
à quoi servira l'argent.
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Demande à ton père,
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C'est tellement plus simple,
Tu le lui rendras.
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- Bonjour, Mademoiselle.
- Bonjour.
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Au revoir, Max.
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Au revoir, David.
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Comment ton frère surnomme-t-il
les marchands d'art déjà ?
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Marchands de vent.
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Marchands de vent.
Il a raison...
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- C'est vrai.
- Excusez mon retard, M. Rothman.
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Vous savez cette espèce
de vagabond...
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qui vous donne mauvaise
conscience, cet Hitler ?
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Il prononce un discours,
tout près d'où j'habite,
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et vous devriez vraiment y aller
pour écouter ce qu'il raconte.