:26:03
On ne pouvait pas rester,
car il y avait un office le lendemain.
:26:09
Sur la bande-son, on ne m'entend pas
crier sur les pigeons pour qu'ils partent.
:26:14
On a fait ça sans trucage.
Un cascadeur est descendu du toit de l'église.
:26:21
C'est dingue qu'on ait pu faire ça.
:26:24
Notre producteur, Ralph Winter,
devait avoir de l'influence sur l'église.
:26:30
Gary Jensen devait monter
son matériel là-haut.
:26:33
Gary sait y faire avec des trucs
comme les ralentisseurs,
:26:40
Ies câblages étranges,
surtout dans des lieux insolites.
:26:44
C'est super, car on n'a pas besoin
d'insérer le personnage dans l'image.
:26:48
Le personnage tombe réellement,
dans le vrai décor.
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On fait ça aussi souvent que possible,
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car les images composites, même avec
la technologie actuelle, sont artificielles.
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Si on peut s'en tirer en utilisant
les véritables objets,
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puis en supprimant les câbles,
dont tout le monde ignorait l'existence,
:27:12
ça gagne vraiment en crédibilité.
:27:35
Ce jour-là, Alan Cumming a subi 9 heures
de maquillage pour avoir ces cicatrices.
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D'ordinaire, les cicatrices n'étaient
que sur son visage. Là, ça ne lui a pas plu.
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Mais ça contribue à faire une scène sympa,
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qui sera payante plus tard,
entre lui et Halle, dans l'avion.
:27:58
Un autre cercle.