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Ne sont-ils pas
une richesse?
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Pourquoi ça devient
une richesse
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quand un organisme
l'entoure d'une clôture
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et décrète que
c'est à lui?
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Ça ne s'appelle pas
création de richesse
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mais usurpation
de richesse.
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Au fil des siècles,
on a alimenté
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le domaine public
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et très récemment, ces 30
ou 40 dernières années,
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on le dépouille.
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Par exemple,
les pompiers.
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Cet homme a besoin
des pompiers.
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Au début, c'étaient
des compagnies privées.
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Beaucoup d'autres personnes
en ont besoin.
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Si vous n'aviez pas le
médaillon d'une caserne précise
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sur votre maison et
qu'elle était en feu,
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les pompiers passaient
devant sans s'arrêter
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parce que vous n'aviez
pas de contrat.
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Puis, c'est devenu un
organisme public de sécurité
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sur ce plan précis.
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C'est important.
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Il ne faudrait
pas régresser et dire
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"Si on le remettait sur le
marché il serait plus efficace."
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Le Fraser Institute étudie
la privatisation de B.C. Hydro
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Privatisation de 20 écoles
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Privatiser, ce n'est pas
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donner une entreprise publique
à une personne sympa.
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C'est donner
une entreprise publique
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à une tyrannie inattaquable.
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Les entreprises publiques
ont des aspects avantageux.
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Elles peuvent volontairement
travailler à perte.
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Le profit n'est
pas leur but.
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Elles jonglent avec
les bénéfices parallèles.
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Si une industrie
d'acier publique
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travaille à perte,
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elle fournit de l'acier
bon marché aux industries.
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C'est peut-être bien.
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Ces entreprises peuvent avoir
une propriété anticyclique.