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Chacun de ces maux a du bon.
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Je crois que la solution serait
de permettre aux gens...
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Un autre mal !
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Il ne m'a pas laissé parler.
Mais une chose est vraie :
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protester, ce n'est pas suffisant.
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Le moment vient
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où il faut dire pourquoi on se bat.
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Nous nous sommes donc tus un peu.
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Ils voulaient des solutions ?
Nous aussi.
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On disait qu'une nouvelle économie
émergeait en Argentine.
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Des centaines d'usines fermaient,
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les travailleurs les rouvraient
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et les dirigeaient eux-mêmes,
sans patrons.
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Chez nous, une usine fermée,
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c'est l'inévitable conséquence
du système.
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Fin de l'histoire.
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En Argentine, aujourd'hui,
ce n'est que le début.
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Si vous voulez garder l'usine,
les gars, grouillez-vous.
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Ils vous doivent
3,2 millions de pesos en salaire,
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on peut faire pression avec ça.
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L'usine vaut 3,6 millions,
et ils offrent un demi-million.
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C'est ridicule.
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Gardons l'usine et oublions
l'argent qu'ils nous doivent.
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Il faut considérer cette possibilité :