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Mon Dieu,
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comme elle était belle.
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J'ai verrouillé la porte de devant
du salon
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pour être sûr que le service d'étage
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ne dérange pas une employée
en plein ménage à trois
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avec les célébrités de l'hôtel.
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Puis, j'ai verrouillé la chambre
de Vince.
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J'ai pris une douche rapide,
j'ai mis un peignoir
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et j'en ai pris un pour Maureen,
au cas où elle serait un peu timide.
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Pas vraiment timide.
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J'ai jeté le peignoir sur le lit
et je suis entré
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à moitié inquiet qu'ils terminent
sans moi.
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J'ai toujours préféré
la position du missionnaire.
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Je dois voir leurs visages,
regarder dans leurs yeux.
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A moins qu'elles jouent la comédie,
et je crois pouvoir le déceler,
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il vient un moment,
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où, lorsque vous regardez,
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où vous regardez vraiment,
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vous voyez qui elle est vraiment.
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Ceci était différent.
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C'est comme si elle voyait
qui j'étais vraiment.
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Attention, là, compadre.
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Difficile de dire qui est qui,
dans ces circonstances.
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C'est moi qui suis un peu plus
que dur, espèce de rosbif.
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Et moi, je ne suis pas circoncis.
Ne l'oublie pas.
:26:54
Oh là. Tu as le mauvais trou, Vince.
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- Allez, merde.
- Tu vas aimer.
:26:59
C'est comme une autre planète,
quand tu jouis.