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James Taylor m'a proposé un siège au
Sénat pour les prochains 20 ans, -
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- si je votais pour un barrage,
que nous savons être une escroquerie.
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Si j'osais parler contre ce projet,
il a promis qu'il me briserait en deux.
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J'ai commencé à parler, et le bras
long et puissant de ce Taylor,-
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- est parvenu dans cette salle sacrée,
pour me serrer à la gorge.
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- Mr le Président, un point d'ordre.
- Mr. le Président ...
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- Le Sénateur Paine peut le faire.
- Je me suis dressé ici pour l'accuser.
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- Le Sénateur Paine peut le faire.
- Je me suis dressé ici pour l'accuser.
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Il prétend
que j'exécute des ordres criminels.
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Il m'accuse de conduite indigne !
Il devrait se cacher sous terre.
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Je n'ai pas dit que le Sénateur Paine
se trouvait chez Mr. Taylor !
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J'étais dans cette pièce !
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J'accuse cet homme.
Par son ton et ses déniements, -
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- il tente de dresser une image
détestable de ma conduite.
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Je vais vous dire ce que nous faisions.
Mr. Taylor, citoyen respectable, -
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- venait d'apporter des évidences contre
cet homme que nous poussions à partir.
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Pourquoi ? Pour ne pas mettre en cause l'honorabilité de l'État.
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- Mais il a refusé.
- Mr. le Président, puis-je...
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Il n'y a qu'une réponse à ce genre
de personnage. La vérité.
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Ce dont j'ai fait part à cette chambre.
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Il tente de faire chanter le Sénat tout
comme il a essayé avec moi.
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Pour éviter son expulsion,
il retarde l'adoption du déficit !
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Ce qui est vital au pays,
et devrait être adopté aujourd'hui !
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- Ais-je la parole ?
- J'ai perdu toute patience à son égard.
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Je m'excuse pour sa nomination.
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Je suis las et fatigué
de ce méprisable individu !
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Je refuse de rester ici à l'écouter !
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Et je souhaite que les membres de cette
assemblée partagent ce sentiment.
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Cédez la parole !
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Messieurs!
Messieurs, adressez-vous à la Présidence.
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Que désire ce monsieur ?
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La chance de parler aux gens
qui me croiront.