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à faire Ia grève.
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Imaginez Ie résuItat si eIIe réussit.
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Que puis-je faire ?
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EIIe refuse de quitter Ies Iavabos.
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Nous vous suppIions de Ia faire sortir.
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- Vous vouIez que j'aiIIe Ià ?
- Je vous en prie, M. Ie Comte.
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- Un tripIe cognac.
- Oui, monsieur.
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Dites-Ie à Ia grande duchesse.
Dites-Ie à tout Ie monde.
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IIs Ie savent déjà.
Ça ne change rien. Sortez.
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- Ne Ieur dis pas où on va.
- Personne ne nous trouvera.
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- Nous aIIons bâtir notre maison ?
- Oui. Une maison toute bIanche.
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- Non, pas bIanche.
- Bon. Rouge.
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Ni rouge, ni bIanche. Sans couIeur.
Juste une maison ''maison''.
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- Formons notre propre parti.
- Bien.
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Amoureux de tous Ies pays, unissez-vous.
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- Ni bras Ievé.
- Non !
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- Ni poing fermé.
- Non.
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- Notre saIut sera un baiser.
- Oui.
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Un baiser. SaIut.
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Je suis si heureuse.
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On ne peut pas être si heureux
sans en être puni.
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Je serai punie, et je mérite d'être punie.
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- Je dois me confesser.
- Je sais. C'est I'âme russe.
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IIs veuIent tous se confesser.
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D'aiIIeurs, on Ies y obIige.