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Je ne vous connais pas très bien.
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On pourrait y remédier.
On pourrait se voir souvent.
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Pendant
qu'il est encore temps.
:42:10
- Cela vous convient-il ?
- Oui.
:42:14
Et pourquoi pas ?
:42:15
- Je suis si heureux de vous revoir.
- Moi aussi, Vin.
:42:20
Vous croyez que je peux ?
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On s'est en quelque sorte
mis d'accord, non ?
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- Serait-ce trop demander ?
- Non, Vin.
:42:37
J'entends des voix.
Qui reçois-tu ?
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Vincent Miniver.
Ma grand-mère
:42:43
- Enchanté, Lady Beldon.
- Miniver ?
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Miniver. Je connais ce nom.
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Une rose de ce nom
est en compétition cette année.
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La rose Miniver.
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C'est nouveau.
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Il y a eu la Marshall Neil,
la Drushke...
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la Duchesse d'Argyle
et aujourd'hui, la Mme Miniver.
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Je t'en prie.
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Une rose vulgaire qui a poussé
dans une gare.
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Vin n'a rien à voir avec ça.
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Alors que fait-il ici ?
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- Je suis venu offrir mes services.
- Je vois.
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Ce fichu Foley vous a envoyé.
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- Absolument pas.
- Grand-mère
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C'est ridicule !
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On peut prendre soin de nous-mêmes.
On le fait depuis 800 ans.
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- Mais...
- On ne reçoit pas d'ordre.
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Avec cette guerre, les petites gens
vont se sentir importants.
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Des attaques aériennes !
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Ces fichus Allemands,
ils n'oseraient pas...
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- Que devons-nous faire ?
- Rien.
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- C'est encore un coup de Foley.
- Vous n'êtes pas raisonnable.
:43:54
En voilà des manières !
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Vous devez prendre des précautions.
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Que le majordome rassemble
les domestiques à la cave.