:55:00
Maria semble très amoureuse.
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Elle va nous manquer
si elle part à New York.
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Si c'est pour son bonheur.
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Merci. Ce fut un vrai plaisir.
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- Vous partez déjà, M. Davis?
- Oui.
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Hélas!
:55:15
- Bonne nuit.
- Bonne nuit.
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- Merci beaucoup.
- Je vous en prie.
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Cessez de vous mêler
de la vie de Maria.
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Laissez-moi m'occuper de ça.
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- Il est merveilleux, hein?
- Alors, raconte?
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Pour une fois que je voulais
qu'un homme m'embrasse...
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et il avait autre chose à faire.
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Mais ça va changer.
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Eduardo, tu as entendu ça?
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Pas question.
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- J'en ai assez d'être renvoyé.
- Dégage le passage.
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- Vous m'avez trahi l'autre soir.
- Moi? Comment ça?
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En dissimulant votre vraie nature...
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- derrière une façade charmante.
- C'est faux.
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La folie a dû frapper
les femmes de ma famille.
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Elles vous adorent.
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- Elles me croient amoureux de Maria.
- Vous entendre dire cela...
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me donne la chair de poule.
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Comment pouvez-vous avoir
une fille aussi charmante?
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- Votre ton me déplaît.
- Et moi, votre intrusion dans sa vie.
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Ce n'est pas à vous d'en juger.
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M. Acuna, je rentre à New York
par le prochain vol.
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- Pardon?
- Déchirez le contrat.
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- J'ai décidé de partir.
- Ça vous prend d'un coup?
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Oui, monsieur.
Vous vous sortirez tout seul...
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de cette situation stupide.
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Je vois. Vous voulez qu'elles croient
que je vous ai forcé à partir.
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N'est-ce pas le cas?
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Maria vous prendra
pour un martyr de l'amour.
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Cette remarque stupide
ne vient pas de votre femme.
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M. Davis, ce contrat vous engage.
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Vous restez
ou je vous poursuis en justice.
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- Mais hier...
- C'était avant...
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cet odieux étalage de votre charme.
A présent, j'ai une idée.