:52:02
Quoi, pas de caviar ?
:52:04
Ce sera prìt dans 1 0 minutes.
:52:07
- On va á une partie ce soir.
- D'accord.
:52:10
Avec les Nicola.i.. Lui est flic.
Tu t'en souviens ?
:52:14
Oui, vaguement.
:52:17
Tu tiens á y aller ?
:52:20
Je reviens dans 5 minutes.
:52:26
On ignore encore qui a tué la fille.
:52:29
C'est vrai ?
:52:31
- Connais-tu Frances Randolph ?
- Non.
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Je m'occupais d'elle.
:52:36
Bon, dis-moi.
Qu'est-ce que M. Steele lui a fait ?
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ll l'a juste rouée de coups.
ll lui a cassé le nez.
:52:45
Et tu ne l'as pas prévenue
contre cette brute de Dix ?
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Plaisante toujours, mon ange.
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Un jour, tu découvriras qui est ton ami.
Pourvu qu'il soit temps.
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Car il sera plus dur
de t'en sortir qu'avec M. Baker.
:53:04
Assez, Martha. Va-t'en !
:53:07
Je m'en vais, mon ange...
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mais tu me supplieras de revenir
quand tu auras des ennuis.
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Tu me supplieras
car tu n'as personne d'autre.
:53:16
Va-t'en !
:53:23
J'adore le pique-nique.
:53:24
- Tout ce sable qui va dans la nourriture.
- Repose-toi et respire.
:53:30
- Le sable ?
- Non, l'air.
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ll a travaillé comme un fou
ces jours-ci.
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- Et comment travaille un écrivain ?
- Assis, d'habitude.
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- L'eau est merveilleuse.
- Oh, mon héros !
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Mais son histoire est
toute tracée dés le début.
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Sinon, c'est les ennuis.
Sauf si une fille comme elle vous inspire.
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- Chéri, tu te sens bien ?
- J'écris á cause d'elle.
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Elle parle tout le temps.
Pour la faire taire, je me mets á écrire.
:53:59
Qu'ai-je bien pu lui trouver ?