Vitelloni, I
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1:01:03
Mais vous ne pouvez pas comprendre.
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Si, je comprends.
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Non. C'est faux.
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- Mais si.
- Non, c'est faux.

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Et cela me chagrine.
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Et j'ai plus de peine encore
pour votre pauvre femme.

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Qu'alliez-vous dire ?
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Voilà votre solde.
Trouvez-vous une excuse.

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Qu'il y avait trop de travail,
ce qui vous plaira.

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Vous ne manquez pas d'imagination.
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Mais...
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- Pourquoi ?
- Pour vous apprendre à vivre.

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Je vous ai accueilli comme un frère.
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Mais vous vous êtes comporté
en voyou !

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Maintenant, dehors.
Ou je vous casse la figure !

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Je n'aurais jamais cru ça de vous.
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C'est inutile.
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Monsieur Fausto s'en va.
Il ne travaille plus pour nous.

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Il quitte sa place.
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- Je ne viens pas demain ?
- Non.

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Bonsoir.
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Ce n'était qu'une plaisanterie.
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J'ai perdu mon emploi.
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À cause de cette imbécile
de patronne.

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Quelle imbécile ?
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Elle était amoureuse de moi.
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Je ne lui accordais aucune attention.
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Une femme âgée, tu penses !
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Elle a monté son mari contre moi
pour qu'il me renvoie.

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Sous quel motif ?
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- Il ne peut pas te renvoyer ainsi.
- Il le peut.

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Il m'a dit de trouver moi-même
une excuse pour ma famille.

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Tu n'aurais pas dû partir.
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Il t'a versé des indemnités ?
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Tu dois faire un préavis d'un mois.

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