:06:01
On passe Noël avec de vraies femmes
ou avec nos calendriers?
:06:04
- Le capitaine ne me dit jamais rien.
- Mon oeil.
:06:07
Jackson, t'es un traître.
:06:10
En plus, je me méfie des soldats
qui se cirent les pompes.
:06:18
- La voix de son maître.
- Maman l'appelle.
:06:21
- Café, soldat?
- Pourquoi pas?
:06:23
J'ai déjà un ulcère.
:06:32
Costaud, hein?
:06:39
- Vous m'avez appelé, mon capitaine?
- Oû sont les formulaires?
:06:43
Quels formulaires?
:06:45
Pour la relève.
La division les veut pour aujourd'hui.
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Je les ai déjà envoyés, mon capitaine.
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Vous avez le café?
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Oui, mon capitaine.
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Allons!
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La gestion des troupes...
Inefficace, répétitive.
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Je vous le dis, petit: si de retour au pays,
je gère mon foyer comme ces troupes,
:07:12
c'est la banqueroute au bout d'un mois.
:07:14
D'un mois.
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Les contribuables seraient soulagés si
les hommes d'affaires prenaient la relève.
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Votre idée est pertinente.
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Prenez la boîte de cigares
qui est dans mon havresac.
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Je veux que Clyde, le colonel Bartlett,
se sente de retour chez lui.
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Comme si on était vraiment rentrés.
Cette bonne vieille Riverview.
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- Des cigares et des cendriers?
- Oui, mais rien d'extravagant.
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On vient d'une petite ville,
le colonel et moi. Vous comprenez?
:07:52
Nos plaisirs restent...
:07:58
simples.