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sa portée, et ainsi de suite.
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Mais ça a été coupé au montage,
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encore une fois
en raison de la durée du film,
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que Johnny Jympson
surveillait de près.
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C'est vrai.
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Tout le long, il fallait garder
uniquement I'essentiel
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et se débarrasser du superflu.
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Bromhead parle ici
de sa formation militaire,
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ou plutôt, de celle de sa famille,
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dans I'ensemble
assez proche de la réalité.
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Pourtant, encore une fois,
les descendants de Bromhead
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ont protesté contre certains aspects
de I'interprétation de Michael Caine
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et, je suppose, contre la description
du personnage faite par John Prebble.
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Ils le trouvaient
trop immature et trop...
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Trop faible, je suppose,
dans cette première partie du film.
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Mais c'est vraiment
I'évolution de Bromhead
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qui forme I'un des crescendos
dramatiques du film,
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tout comme celle de Hook.
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Le personnage doit passer
d'une position à I'autre.
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Oui, je crois que, lorsque les
événements réels se sont produits,
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Bromhead aurait été
responsable de la situation,
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mais qu'en raison des qualités
physiques de I'ingénieur,
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soit Stanley Baker,
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celui-ci aurait été avant tout
à I'origine des redoutes du camp,
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conçues pour que les Zoulous ne
puissent pas avancer et s'en emparer.
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N'oublions pas que,
non loin de là,
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1 200 hommes du meilleur régiment
venaient de se faire massacrer,
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et qu'ici, environ soixante
se battaient pour survivre.
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Dans la réalité, la situation
n'aurait pas été aussi enrégimentée,