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comme par exemple
avec le 11 septembre,
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des événements se produisent
en temps de guerre,
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là où des gens se battent...
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On ne veut pas être impliqué...
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Ils ne voulaient pas.
C'était un hôpital.
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Ils avaient tous le béribéri,
quel que soit le nom,
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une jambe cassée, ou autre.
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Je crois qu'ils essayaient de montrer
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que ça ne sert à rien de délirer sur
les paroles de Dieu ou de quiconque,
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ou sur la définition du bien.
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Dès le début, la guerre
est obscène et brutale.
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Voici un plan de la seconde équipe
des Zoulous au-dessus de I'hôpital.
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Encore une fois, quand on les voit,
on a I'impression
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qu'il y a une foule énorme de Zoulous
de I'autre côté de la colline.
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Et de I'autre côté de la colline,
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I'induna donne I'ordre suivant:
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"Descendez encore."
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"Je n'ai pas encore besoin de vous."
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Ce qui est superbe dans le film,
c'est cette menace.
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On a aussi un clair aperçu
de la stratégie zouloue.
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Ce n'est pas qu'une horde de sauvages
attaquant dans une mêlée générale.
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C'est une armée organisée,
disciplinée, avec une stratégie
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pour contrer la stratégie
défensive britannique.
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C'est un conflit entre deux
organisations militaires différentes.
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Oui, mais il ne faut pas oublier
que Cetewayo, comme Shaka,
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ou Chaka, qui était le chef zoulou
avant Cetewayo,
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allait à Ladysmith pour observer
les troupes anglaises...
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...répétant leurs manoeuvres,
s'entraînant, etc.
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D'ailleurs, Chaka...
La lance zouloue que I'on voit,