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et il en vint bientôt á regarder son pére
comme un oppresseur plutôt qu'un ami.
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- Je suis venu vous parler du garçon.
- Hindley ?
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Quels ennuis vous a-t-il causés ?
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Mais aucun.
Je ne peux que me féliciter de ses progrés.
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J'aimerais pouvoir en dire autant.
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- Pourquoi ìtes-vous toujours si...
- Dur avec lui ?
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Oui.
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ll n'a que ce qu'il mérite.
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J'estime qu'il mérite davantage.
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- ll ne fera jamais grand-chose.
- ll pourrait, en poursuivant ses études.
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Ses études ?
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De nos jours, un homme doit ìtre instruit.
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Un homme doit ìtre un homme.
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Vas-y, verse.
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Combien coûte cette stupide instruction ?
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50 ou 60 livres.
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- Quoi ?
- Par an.
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Cinquante livres par an ?
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Pendant quelques années.
Ce ne sera pas perdu, je vous l'assure.
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C'est beaucoup,
et l'argent est dur á gagner.
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Mìme mes cours ne sont pas gratuits.
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Je ne vous refuse pas vos quelques sous,
mais cinquante livres...
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Disons soixante.
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Si votre chére femme avait vécu,
c'est ce qu'elle aurait voulu.
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D'autres passagers pour York ?
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Je semblais ìtre la seule
á regretter son départ.
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Allez, hue !
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Les années suivantes,
je trouvai un réconfort dans le fait
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que le maître devint moins irritable
en l'absence de Hindley.
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Au fil du temps, cependant,