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Je prends pas mon pied avec le champagne
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Du Cole Porter.
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Ces types chantaient du Cole Porter.
Ces cow-boys!
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Burton a fait passer ce gag
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en regardant les autres, I'air de dire:
"J'en crois pas mes oreilles!"
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C'était à mourir.
Je dois remercier Burton pour ça.
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Dom DeLuise était hilarant dans la scène...
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Tout à coup, on voit des danseurs gays...
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dans un numéro genre Busby Berkeley.
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Les Cow-boys crèvent le mur...
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et la confusion est générale.
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Un cow-boy tombe amoureux d'un danseur.
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Ils se donnent rendez-vous, et c'est...
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C'est dément.
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C'est là que la caméra s'éIoigne du plateau
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de je ne sais combien,
pour montrer que c'est un film.
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C'était digne de Pirandello.
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Bref, on fait le film. On le finit...
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A propos, j'ai d'autres gens à citer.
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John Chulay.
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Mon premier assistant,
il m'a tout appris d'Hollywood.
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Il y avait des scènes difficiles à tourner,
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et il a brisé la glace pour moi.
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Il m'a appris à serrer les dents
et à faire face
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pour que je n'y laisse pas ma peau.
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La chorégraphie. Pour la chanson I'm Tired,
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où il y avait des Allemands
avec des casques à pointe.
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Ca, c'était Alan Johnson.
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Il a aussi fait Springtime for Hitler
pour moi.
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Tout récemment, dans Dracula,
il a fait un chouette truc pour moi...
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avec Leslie Nielsen dont il n'est pas facile
d'obtenir un danseur.
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Lui y est arrivé.
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Il y a aussi le dessinateur, Peter Wooley.
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Un petit blond, sans doute grisonnant
maintenant.
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Charmant, adorable.
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Il ne m'a pas coûté un sou.