:46:00
Il aurait fait la même chose
pour moi.
:46:04
C'est comment d'être à l'école
de nouveau ?
:46:07
Je ne sais pas.
Je me sens idiot parfois.
:46:09
Mais comme je suis un idiot,
ça marche.
:46:13
Ce n'est que toi et
ton père qui vivez ici ?
:46:16
Eh bien, en fait, non.
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Il y a Juanita et des bonnes
et des valets et tout ça.
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Et les gens qui travaillent pour
mon père viennent tout le temps.
:46:24
Puis mes amis viennent passer la nuit,
même si je ne les invite pas.
:46:29
- On dirait un hôtel.
- Oui, un peu. Ça peut être gênant.
:46:32
C'est pour ça que j'ai emménagé là.
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Je suis plus rapide que toi.
Tu es bien plus lent !
:46:45
Oh, ouah.
:46:48
C'est ici que je passe la majeure
partie de mon temps dernièrement.
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Tu ne vis pas exactement
à la dure, n'est-ce pas ?
:46:59
Elles viennent avec la tente.
:47:03
Je vois.
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Oh. Un conte de deux villes.
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Je ne pense pas que nous
en soyons encore là.
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Je peux comprendre neuf mots
dans ce livre maintenant.
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Donc, c'est...
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le dernier jour de la troisième année.
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Et tu as l'institutrice...
tout seuls sous ta tente.
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Qu'est-ce que tu veux faire ?
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Je peux penser à trois choses
que j'aimerais faire.
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Une comprendrait des glaçons...
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et un fer de golf numéro neuf.
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- Deux comprendrait un bison.
- Vraiment ?
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Vivant ou empaillé,
de préférence empaillé...
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pour la sécurité.
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Trois : On ramènerait
quelques-uns de ces glaçons.
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Mais on changerait
de fer de golf.
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Comment allez-vous ?
:47:59
Hé, Carl !
C'est bon de te voir !