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	et la mort n'y brandit
pas encore son divin étendard.
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	Juliette,
pourquoi demeures-tu encore si belle?
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	Le spectre immatériel
de la mort serait-il amoureux?
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	Te tient-il prisonnière de ses ténèbres
pour faire de toi sa maîti resse?
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	Oui,
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	c'est ici que mon repos éternel doit se jouer,
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	et soustraire à la funeste influence
des astres mon corps las de l'existence
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	Un dernier regard, mes yeux.
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	Une ultime étreinte, mes bras.
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	Et vous mes lèvres,
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	seuil du souffle vital,
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	d'un baiser nuptial vous salue.