:55:01
	Quelle sera la suite ?
:55:06
	Vous avez raison.
:55:07
	Quelqu'un doit faire quelque chose.
:55:16
	Et vite.
:55:24
	Vous vous demandez certainement ...
:55:26
	pourquoi je suis venu vous voir aujourd'hui.
:55:29
	Je suis sûr que vous avez remarqué
la même chose que nous tous.
:55:32
	Certains changements dans la ville.
:55:36
	Vous savez ce que je veux
dire par changements ?
:55:41
	Des changements.
:55:42
	Des changements.
:55:44
	Et je ne parle pas seulement de
grosses affaires comme le feu.
:55:48
	C'est les petites choses.
Vous savez à propos de Bill Miller?
:55:51
	Non. Quoi ?
:55:52
	Sa femme veut qu'il achète
un de ces nouveaux lits.
:55:54
	Un de ces grands lits ?
:55:57
	Oh, mon Dieu. Que va t'il faire ?
:56:01
	Je ne sais pas. C'est partout.
:56:03
	Le fils de Bill Anderson vient juste
de quitter son travail au supermarché.
:56:06
	Quitter ?
:56:07
	Il a rendu son tablier en
plein millieu de son service ...
:56:10
	il a dit,
"Je ne veux pas continuer ça plus longtemps."
:56:12
	L'alimentation comptant.
:56:14
	Ca leur a pris trois heures pour trier.
:56:18
	Tout le monde vous aime,George.
:56:22
	- Et bien ...
- Si, ils vous aiment.
:56:25
	Pas seulement parce que vous êtes
un bon bouliste. Les gens vous respectent.
:56:28
	Et bien, merci.
:56:30
	C'est important pour eux de voir
quelqu'un qu'ils respectent ...
:56:33
	se lever pour ce qui est juste.
:56:35
	Si vous aimez un endroit,
vous ne pouvez pas seulement ...
:56:37
	rester assis et regarder ce genre de
choses arriver, n'est-ce pas ?
:56:41
	Non, bien sûr que non.
:56:43
	C'est pourquoi je veux que
vous soyez un membre...
:56:46
	de la chambre de commerce
de Pleasantville.
:56:50
	Oh, mon Dieu.
:56:54
	Je ne sais pas quoi dire.
:56:57
	C'est comme la votre.
:56:59
	Exactement comme la mienne, George.