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ou d'écrire de mauvais articles.
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Il en faisait quelque chose
d'extraordinaire. . .
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et d'important pour l'humanité.
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J'ai toujours pensé que j'allais
retravailler avec Stanley.
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Nous étions toujours
restés en contact. . .
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et avions des projets.
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C'est triste de ne plus
en avoir la possibilité.
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Il me manque.
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Comment pourrait-il
ne pas nous manquer ?
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Il était unique.
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Je l'aimais et l'admirais. . .
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bien qu'il soit une personne
difficile.
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Cela n'avait pas d'importance.
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Je n'ai pas travaillé avec lui
pendant 30 ans sans raison.
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Stanley n'est plus là.
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Il n'y aura jamais plus
de nouveau film de Kubrick.
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Il n'y aura plus de films
qui lui ressembleront. . .
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parce que c'était Stanley. . .
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et qu'il poussait tout le monde
à la limite.
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Il poussait le film, il poussait
les acteurs émotionellement.
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Mais nous voulions tous le suivre.
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Stanley m'a appris. . .
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que quand vous croyez
en quelque chose. . .
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passionnément, consacrez-y. . .
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toute votre énergie. . .
et n'en ayez pas honte.
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Il se trouvait très chanceux. . .
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de pouvoir raconter des histoires. . .
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à une échelle aussi grande,
et avec d'énormes fonds.
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Quand il était jeune,
il n'osait pas l'espérer.
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Il ne l'a jamais pris comme un dû.
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Quand on lui demandait :
"Comment vas-tu, Stanley ?"
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Il répondait :
"Je les bluffe toujours ! "