The Yes Men
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:20:00
pas seulement
ceux employés par l'OMC,

:20:02
qui pensent que les règles de l'OMC
causent réellement du tort

:20:06
aux perspectives de développement
des pays les plus pauvres.

:20:09
Revenons à Granwyth.
:20:12
Oui. Je voulais répondre à l'idée
de Granwyth... Pardon, de Barry,

:20:18
selon laquelle
il y a d'autres penseurs.

:20:19
Qui a le pouvoir, dans le monde,
et par conséquent, qui a raison

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dans cette vision du monde ?
:20:25
Je crois que
la réponse est facile.

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Mon point de vu, qui est celui
celui de mon organisation,

:20:32
et celui de bien
des dirigeants du monde,

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les puissants, est en parfait
accord avec ce que j'explique.

:20:40
Je crois que c'est suffisant
de ce point de vue.

:20:43
En bref, Barry.
:20:44
Je veux dire que
:20:46
les riches et les puissants
croient en une philosophie

:20:50
qu'ils projettent
dans les institutions

:20:53
dans lesquelles
ils ont un écho important.

:20:55
C'est justement ce modèle
qui est remis en question.

:20:58
Et un nombre
de plus en plus grand

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de personnes remettent
ces règles en question.

:21:06
Les gens dans les rues
de Gênes et de Seattle

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ne sont pas représentatifs
du mouvement global.

:21:12
Ils sont l'arbre
cachant la forêt.

:21:13
Selon une étude faite l'an dernier
sur les pays en voie de développement,

:21:17
en l'espace d'un an,
sur 50 mouvements de protestation,

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plus d'un million d'habitants des pays
en voie de développement

:21:23
ont essayé
de changer les règles

:21:26
imposées par
la Banque Mondiale et le FMI,

:21:29
et verrouillées par l'OMC.
:21:31
Merci. C'est la fin de l'émission.
Barry Coates, merci d'être venu.

:21:34
Merci aussi à Granwyth Hulatberi
et Vernon Ellis depuis New York.


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