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Tu ne crois pas ?
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Quand Nuke a commencé à écouter Crash,
tout s'est mis en place.
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Il a commencé à lancer des strikes,
et on a commencé à gagner.
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Mais Nuke était encore confus.
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Il était si encouragé
par sa victoire...
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qu'il fit le vu de ne pas avoir de
rapport sexuel jusqu'à ce qu'il perde.
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Mais malheureusement,
il a continué de gagner...
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et pendant des mois dejuin
et juillet extraordinaires...
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les Bulls de Durham
se mirent à jouer au base-ball...
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avec joie, verve, et poésie.
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Les deux côtés de mon propre cerveau
étaient en court-circuit.
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Alors qu'un côté était négligé...
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l'autre était au paradis
de voirjouer nos Bulls...
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comme ceux des grandes ligues.
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On a fait une série
de quatrejeux à Kinston...
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deux jeux à Winston-Salem...
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et on a sacrement botté le cul
de Greensboro en trois jeux.
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Et Crash, qui n'arrêtait pas
de faire des home runs...
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approchait le record
des petites ligues...
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bien queje n'en dise rien
à personne.
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Après avoir dominé
les deux matchs du 4 Juillet...
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les Bulls de Durham étaient
ex aequo pour la première place.
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Aussi belle que soit la série gagnante,
je commençais à me sentir bien seule.
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Il fallait faire quelque chose.
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J'avais besoin d'un homme.
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J'aime gagner, mec.
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J'aime gagner, putain.
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Tu vois ce que je veux dire ?
C'est mieux que de perdre.