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et "1941 ", ma comédie,
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même "La liste de Schindler",
qui n'est pas un film de guerre -
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je considère I'Holocauste
comme une catégorie en soi.
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Il y a des fenêtres sur la guerre
dans beaucoup de mes films.
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Des petites poches, des séquences,
un peu comme la guerre,
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mais jamais rien
de comparable à ce film.
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Je ne pense pas avoir jamais
rien fait qui ressemble
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à la guerre telle qu'on a essayé
de la recréer dans Le Soldat Ryan.
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Je n'ai jamais rien vu de semblable
à ce film quand au réalisme,
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à ce que les hommes
que j'ai interviewés
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pendant 30 ans au sujet
de cette bataille
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m'ont raconté sur ce qui
s'y est passé.
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Je veux voir la plage
entre chaque homme.
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Nous étions sur cette barge
quand les rampes se sont abaissées.
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Tout ce que j'ai vu,
c'est la rampe s'abaisser
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et les trois premières rangées
de soldats voler en éclats.
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J'ai réalisé combien
ce film était différent
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de tout ce qui a été fait auparavant,
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ne serait-ce que dans
le réalisme cru du détail.
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Dog One sortie - ici !
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C'est parti !
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Nous nous sommes tous efforcés
non seulement d'être justes,
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mais aussi d'être authentiques.
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Malgré le côté épouvantable
et douloureux.
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Spielberg vous fait voir
les conséquences de la guerre.
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Il vous fait regarder
ces jeunes garçons,
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Ia terreur, la confusion,
le chaos, le bruit.
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Le drame de ces jeunes vies balayées.
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Je cherchais le réalisme.
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- Il veut qu'on prenne les enfants.
- On ne peut pas prendre les enfants.
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Je ne voulais pas tourner le film
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comme une production Hollywoodienne,
un grand spectacle plein de bravoure.