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ils avaient retrouvé
ma mère et... voilà.
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C'est assez surprenant, en fait.
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de voir quelqu'un
qu'on connaît,
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comme son père, dans cet état-là...
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alors oui, c'était assez surprenant...
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mais, en fait, je crois que
rétrospectivement, il...
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il a dû avoir une vie malheureuse...
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la plupart du temps.
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Mon ami Gus dit que les braves
gens, les gens normaux,
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sont toujours fascinés par
les histoires de gangsters,
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parce que eux, ces gars-là,
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peuvent dire : "Nous n'allons pas
suivre une quelconque loi tacite...
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"qui veut qu'on ne vous vide pas les
poches quand vous ne me regardez pas.
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"Nous n'avons pas conclu un accord précis,
disant qu'on ne profitera pas de vous".
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Et ces personnes sont
en minorité, heureusement,
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sinon, ce serait le chaos.
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Mais on adore les regarder,
parce que... parce que,
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c'est se balader du côté obscur,
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sans qu'il n'y ait aucun
risque réel de corruption,
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ça reste purement fictif, vous voyez ?
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On sera toujours attirés par ça.
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Des fois, on ne peut pas
en détourner les yeux,
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pourtant, on devrait.
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- Salut Carl, comment ça va ?
- Comment allez-vous ?
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- Vous tenez la forme ?
- Oui, merci.
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C'est étonnant que vous
m'ayez appelé aujourd'hui,
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car, j'ai... j'avais besoin de vous voir.
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J'ai une idée d'article, qui
pourrait faire la couverture.
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Vous avez de la salive
autour de la bouche.
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Quelle heure est-il ?
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Oh, je sens que j'ai envie de vomir.
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Vous êtes disposée à parler de ceci ?
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Oh, Nicholas.
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Écoutez, je pense que vous
êtes un très grand acteur,
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et que je vais sans doute écrire
un très bon article sur vous.