:02:20
	Mince. Si j'avais su à l'époquece queje sais maintenant.
:02:23
	Mais on est différentsaujourd'hui.
:02:24
	On sait tous que ce pays est bâtisur la vente et la concurrence.
:02:29
	Tout est une question de fric.
:02:31
	Le fric, mon pote.Aussi simple que ça.
:02:33
	Tout le reste,c'est que des conneries.
:02:36
	Les gens viennentdu monde entier ici pour le fric.
:02:39
	C'est ça,le rêve américain.
:02:41
	Vous croyez que ça arrive de partoutpour vivre à East New York...
:02:44
	Harlem ou dans le sud du Bronx...
:02:46
	à cause des belles vues,de la putain de qualité de vie?
:02:52
	Je m'appelle Victor Rosa.
:02:54
	Je suis jeune, latin et beau gosse,etje dis les choses comme elles sont.
:02:58
	Parce queje vous donne mon avis,que ça vous plaise ou non.
:03:02
	Je vais pas vous raconterde conneries. Pas question.
:03:05
	Je suis un homme d'affaires,un entrepreneur...
:03:07
	comme Rockefeller et Carnegie...
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	et, à mon époque, une têtecomme Bill Gates, ce connard. Ouais.
:03:13
	Ils ont tous fait fortuneen partant de rien.
:03:16
	Pourquoi pas moi?J'ai un produit comme eux.
:03:18
	Je le vends énergiquementetje me fais plein de tunes.
:03:22
	Pas besoin de pub,ça se vend tout seul.
:03:26
	Faut pas être con pour gagnerdu fric avec ça et survivre.
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	Et ça a peut-être été pareilpour Rockefeller que pour Gates...
:03:34
	mais dans mon business, si on merde,on perd plus que des actions en bourse.
:03:40
	On fait nos affairesà partir de chezJimmy.
:03:43
	Jimmy et moi,on a démarré ensemble, gamins...
:03:46
	en faisant le pet,puis on a pris du grade.
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	C'est mon équipe,mais jy arriverais pas sans Jimmy.
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	Et Chedda.Chedda, c'est un monstre.
:03:55
	Pas seulement par sa taille,mais par son coeur.
:03:59
	Le plus black des enfoirésqueje connaisse.
aperçu.

